Philippe Di Maria
Auteur

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20,5 x 14,5 cm - 198 pages

TEMPUS FUGIT (2024)

Le style en littérature, celui par la force duquel, seul, un livre tiendrait debout, est-ce ce Graal si recherché par tous les écrivains, mais inaccessible étoile ? Est-il même possible d’en donner une exacte définition ? Avec les textes présentés dans ce recueil, l’auteur se joint à cette quête merveilleuse du style, à travers trois thématiques : 
Invention - Imitation - Analyse

La machine infernale du temps : Tempus Fugit
Le Temps : celui qui efface tout, le Maître des ravages, celui qui n’offre jamais de seconde chance. Les nouvelles réunies ici sont inventions où l’auteur fait quelques tentatives d’ériger, contre cette fuite fatale, la gravu re du souvenir par le style.

Les gammes de l’éternel humain : Jean de La Fontaine
Le pastiche est cette tentative de se mettre dans l’esprit, dans l’âme, dans la plume des grands écrivains pour y trouver le « secret du style ». Dans les fables présentes, l’auteur se fait le respectueux écolier du grand poète.

Le refuge des arts contre l’absurde : L.-F. Céline
Parmi les grands auteurs qui ont révolutionné l’art du Roman, il en est un qui fait toujours couler beaucoup d’encre, et bien souvent pour des pour des raisons externes à son écriture, c’est Louis-Ferdinand Céline.
Les essais regroupés dans ce recueil sont tentatives d’analyses littéraires, réflexions stylistiques ou poétiques, collusions de son œuvre romanesque avec celles de grands génies de la littérature, de la musique ou de la peinture (Dante, La Fontaine, Beethoven, Doré…).

 

 


17 € + 2 € frais de port



24,5 x 18,5 cm - 526 pages

LAISSEZ TOUTE ESPÉRANCE (2019)

Raconter une époque qui accumule folies sur folies, plébiscitées par ceux-là mêmes qui en subissent les désastreux effets, est automatiquement source d’incompréhensions multiples et conflictuelles. D’où les mécontentements qui vont suivre…
Dante Alighieri a fourni la trame sur laquelle repose ce périple dans les fuligineux cercles de l’Enfer moderne du XXIe siècle.

[…] Au milieu du chemin de sa vie, Daniel Dantin se trouva dans des ténèbres inextricables. Sa voie droite était perdue et son errance irrémédiable. Le monde s’était détaché de lui et lui du monde.
Retraité depuis quelques jours, il avait vu sa longue carrière de policier prendre fin au moment où les Parisiens s’enivraient des festivités d’Halloween, sépulcrales kermesses plébiscitées et encensées par les multiples entités médiatiques.
Pour Dantin, tout était devenu le pire, dans le pire des mondes possibles.[…]

[…] Lecteur enhardi, laisse-moi maintenant planter pour toi le décor dans lequel notre héros accomplira un long voyage à travers les neuf cercles de l’Enfer qu’est devenu son univers !
Lecteur enhardi, je dois te le présenter ce monde, avec moult détails et répétitions, mais c’est à son image moderno-positive et itérative qu’il faut le décrire ce « monderne »  qui, tel le Joker du film, d’un rasoir acéré s’est ouvert les chairs aux commissures de ses lèvres progressistes et fraternelles pour exhiber, partout, son épouvantable et fallacieux sourire moderniste.
Tu déjeuneras quand même, lecteur, avec ton appétit insatiable d’hommoderne en mettant ton impatience sur le compte de l’auteur, en le taxant d’exagération, en l’accusant de poésisme. Sache-le pourtant, ce voyage est tour à tour fiction, pamphlet, roman ou peut-être Vérité, et tu pourras en reconnaître les éléments chez toi, dans ton coeur, dans ton âme damnée.[…]

[…] Il n’y a pas à se désespérer de voir la fin d’une ville, d’une culture ou d’une civilisation, car tout ce qui existe, soit par nature, soit par accident ou créé par l’homme doit disparaître un jour. On ne peut donc que se réjouir d’avoir eu la chance de vivre au moment de leur effondrement et d’y avoir assisté ; et plus encore, de s’être trouvé sur le devant de la scène quand elles ont brillé pour leur dernière fois d’un feu si intense.[…]

Par moi on va dans la cité dolente…
 Avant moi rien n’a jamais été créé
   Qui ne soit éternel, et moi je dure éternellement
      Vous qui entrez, laissez toute espérance

 


15 € + 3,50 frais de port



24,5 x 18,5 cm - 182 pages

LE SABLIER (2012 et 2018)

Y a-t-il plus profond abîme, autre que son passé, où la pensée peut sombrer indéfiniment ? Seuls les rêves nous épargnent la question qui surgit au seuil de notre être à chacun de ces instants où nous cessons de nous enivrer dans le monde : qu’ai-je fait, véritablement, de ce temps de dire « un » que dure une vie humaine ?

Ce temps de dire « un » est celui que nous employons à nous alarmer, à vénérer, à nous tourmenter, à aimer et, surtout, à regretter tant d’actes que nous n’avons pas su accomplir, de décisions que nous n'avons pas prises, de buts que nous avons manqués ; tout ce qui n’aura pas de seconde chance.

La vie d’un être, chandelle si vite brûlée, est avant tout regrets, et le Temps, un maître cruel dont l’asservissement n’est adouci que par le baume des souvenirs heureux.
Ces réminiscences sont les quelques grains du « Grand Sablier » qui, distillés par un alambic magique, ont pu s’extraire de leur geôle de cristal.
Les 25 grains de sable assemblés ici en sont quelques vestiges.

 



13 € + 2 € frais de port



18 x 12,5 cm - 198 pages

MYSTÈRE À AUVERS (2014)

À travers les rues et monuments d'Auvers, où Van Gogh a passé les deux derniers mois de sa vie, nos Cardinaux vont aller de découverte en découverte jusqu'à la plus extraordinaire, la plus fabuleuse, celle qui est convoitée par tous les chasseurs de trésors depuis sept siècles !

Après avoir élucidé le mystère du trésor de Louis-Napoléon, nos détectives amateurs vont se retrouver plongés dans une nouvelle aventure mêlant mystère et merveilleux, lors de leurs vacances à Auvers-sur-Oise.

 


6,50 € + 2 € frais de port



18 x 12,5 cm - 198 pages

MYSTÈRE À SAINT-LEU (2012)

Suite à un jeu de détective qui tourne mal, quatre adolescents se trouvent confrontés à l'HYDRE, une société secrète malfaisante qui se réclame l'héritière du trésor perdu de Louis Napoléon !

À travers des souterrains cachés, des codes secrets à décrypter, des menaces de mort et une tentative d'enlèvement, la bataille sera rude, riche en événements et très fertile en rebondissements !

 


6,50 € + 2 € frais de port


cage d'escalier
24,5 x 18,5 cm - 184 pages

LA CAGE D'ESCALIER (2008)

Une fois le llvre refermé, ces pas résonnent longtemps dans nos oreilles, sentinelles éternelles.

On a rarement aussi bien fait sentir ces moments où l'Homme, attendant un Paradis, ne voit pas que déferle sur lui…  l'Enfer

Ces nouvelles, lucides , ironiques et incisives comme les styles svariés qu'elles utilisent, s'enchaînent implacablement en démontant un par un les emplois du temps trop péremptoirement organisés ; elles mettent en scène l'irruption du fâcheux !
 

Épuisé